Jean-Luc Marcastel, n'en finit pas de continuer d'écrire et de bien conter... Après, "Louis le Galoup", "Frankia", le premier volume de "La Geste d'Alban", voici "le Dernier Hiver"...
L'auteur d'Aurillac, par amitié, a envoyé à l'auteur de ces lignes les deux derniers volumes précités, deux livres comme deux épreuves non corrigées et non commercialisables. Et en plus, ils ont été dédicacés...
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Les lecteurs de Jean-Luc Marcastel qui dans les quatre coins de l'hexagone auront la chance de le rencontrer, de discuter avec lui et de voir une sympathique mais sincère dédicace écrite d'une plume griffue se graver comme par enchantement sur la troisième page seront comme moi, pressés de rentrer près du cantou, dans leur chaumière, même si cette chaumière est une maison ou un HLM... car Jean-Luc Marcastel par sa générosité, son talent et sa sensibilité est attentif à tout le monde, riche ou pauvre, jeune ou vieux ...
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Mais me voilà avec deux livres entre les mains, deux livres magnifiques surtout "la Geste d'Alban" dessiné par Jean-Mathias Xavier, pour la couverture du "Le Dernier Hiver" la couverture est provisoire, par conséquent je ne peux donner mon avis, pour l'instant elle est noire, noire comme le petit résumé qu'humblement je vais tenter de partager avec vous. d'une histoire à vous glacer le sang, au propre comme au figuré, une histoire d'amour, une histoire de tolérance et de fraternité...
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Il était une fois, un livre de Jean-Luc Marcastel qui ne commençait pas dans le moyen-âge, mais dans le futur exactement à Aurillac, le mardi 26 juillet 2035 à 14 h 30 par une température de - 31°, un roman qui commence comme un roman de science-fiction, mais qui n'est pas de la science-fiction...
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"Voyons par où commencer ?
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"Voyons par où commencer ?
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La fin du monde, le monde d'Avant, celui du jour...
Personne ne sait ici comment c'est arrivé.
Certains affirment que toutes les saletés qu'on a rejetées dans l'atmosphère ont fini par obscurcir le ciel, que les courants marins se sont modifiés et que le climat s'est modifié". (...) Les restes d'une planète pulvérisée peut-être, qui s'est interposée entre le Soleil et la Terre... (...)
Jean-Luc Marcastel débute par un concept fortement d'actualité...
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Mais replongeons-nous dans le roman : Le froid, la glace s'est étendue de partout sur le globe, mais pas seulement, une ennemie envahit aussi la surface de la terre, une forêt de pins, une forêt vivante carnivore un peu comme la "mer" de Stanislas Lem dans son roman "Solaris". Les hommes tentent à tout prix de lutter contre cette nature hostile, contre cette forêt malfaisante, la Malsève.
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Mais replongeons-nous dans le roman : Le froid, la glace s'est étendue de partout sur le globe, mais pas seulement, une ennemie envahit aussi la surface de la terre, une forêt de pins, une forêt vivante carnivore un peu comme la "mer" de Stanislas Lem dans son roman "Solaris". Les hommes tentent à tout prix de lutter contre cette nature hostile, contre cette forêt malfaisante, la Malsève.
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" On se cramponne aux vestiges de l'ancien monde, on essaie de vivre "comme avant", mais c'est difficile quand on est obligé de se chauffer au bois parce qu'il n'y a plus d'électricité et que le seul bois est un prédateur..." La situation est bien plus compliquée et angoissante que celle décrite dans le roman du maître du Maine, Stephen King, "La Petite Fille qui aimait Tom Gordon"... car un jeune homme seul, parfois accompagné par un père alcoolique, souffrant d'autisme. D'autisme ? " Foutaise ! Il n'était pas autiste. Il était seulement doté d'une clairvoyance qui faisait défaut à la plupart des gens."
Johan est son nom, connu aussi par son sobriquet, " Le Corbeau "... Son frère est engagé dans l'armée, une armée qui ne peut faire face aux éléments naturels et étranges. Une anarchie naquit provoquant une débâcle. Théo son frère y est engagé, mais lucide il décide de fuir, de déserter... et, il rejoint tant bien que mal la maison familiale avec quelques effets militaires qui seront par la suite bien utiles.
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Plus j'y pense plus j'oublie que j'ai omis de dire l'essentiel, une histoire d'amour sert de prétexte, une autre "Roussotte", Léa qui se trouve à Bergerac en est le fil d'Ariane, bien que...
Ce trio de base par lequel le roman commence à pour but de survivre, de lutter contre la forêt carnivore et de partir à la recherche de cette belle Léa.
Mais Marcastel est fraternel, un peu comme certains Dieux de la Gèce Antique, ils façonnent ses personnages et en ajoutent... Après, les retrouvailles entre les deux frères terminées, ils décident de "chausser" leurs raquettes, d'affronter la neige, le froid et les ténèbres afin de partir dans une auberge, enfin auberge est un grand mot, et dans celle-ci, ils rencontrent un ami Khalid un musulman en couple avec une israélite, Sarah... Puis, après quelques bagarres provoquées par la tension extrême induite par les incertitudes et l'angoisse, l'aubergiste demande le silence, car la radio de la gendarmerie émet une annonce lourde de conséquence : le Gouvernement à fuit... Alors que tout le monde est abandonné, que tout est désordre, le petit groupe lui n'est pas décidé à abandonner Léa dont on ne sait plus rien. Elle si loin, peut-être encore à Bergerac...
Chers amis lecteurs, imaginez-vous dans les ténèbres, entouré de mètres de neige, enveloppé d'un froid mordant et d'une forêt carnassière, vous pensez sans doute que cela ne se peut ? Pourtant Jean-Luc Marcastel vous emportera dans ce monde hostile, et dans cette formidable aventure. Et vous comme moi, il y aura un pincement au cœur en refermant son livre.
Johan est son nom, connu aussi par son sobriquet, " Le Corbeau "... Son frère est engagé dans l'armée, une armée qui ne peut faire face aux éléments naturels et étranges. Une anarchie naquit provoquant une débâcle. Théo son frère y est engagé, mais lucide il décide de fuir, de déserter... et, il rejoint tant bien que mal la maison familiale avec quelques effets militaires qui seront par la suite bien utiles.
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Plus j'y pense plus j'oublie que j'ai omis de dire l'essentiel, une histoire d'amour sert de prétexte, une autre "Roussotte", Léa qui se trouve à Bergerac en est le fil d'Ariane, bien que...
Ce trio de base par lequel le roman commence à pour but de survivre, de lutter contre la forêt carnivore et de partir à la recherche de cette belle Léa.
Mais Marcastel est fraternel, un peu comme certains Dieux de la Gèce Antique, ils façonnent ses personnages et en ajoutent... Après, les retrouvailles entre les deux frères terminées, ils décident de "chausser" leurs raquettes, d'affronter la neige, le froid et les ténèbres afin de partir dans une auberge, enfin auberge est un grand mot, et dans celle-ci, ils rencontrent un ami Khalid un musulman en couple avec une israélite, Sarah... Puis, après quelques bagarres provoquées par la tension extrême induite par les incertitudes et l'angoisse, l'aubergiste demande le silence, car la radio de la gendarmerie émet une annonce lourde de conséquence : le Gouvernement à fuit... Alors que tout le monde est abandonné, que tout est désordre, le petit groupe lui n'est pas décidé à abandonner Léa dont on ne sait plus rien. Elle si loin, peut-être encore à Bergerac...
Chers amis lecteurs, imaginez-vous dans les ténèbres, entouré de mètres de neige, enveloppé d'un froid mordant et d'une forêt carnassière, vous pensez sans doute que cela ne se peut ? Pourtant Jean-Luc Marcastel vous emportera dans ce monde hostile, et dans cette formidable aventure. Et vous comme moi, il y aura un pincement au cœur en refermant son livre.
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" Le Dernier Hiver " sera mis en vente le 5 octobre 2011Editions : Hachette
Collection : Black Moon
Patrick Clot,
Sorbier, le 7 septembre 2011